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Changement de l'objectif de gestion et de la stratégie d'investissement à compter du 21 juillet 2023
L’objectif de gestion est d’obtenir une appréciation du capital à un horizon supérieur à 5 ans en relation avec l’évolution des marchés d’actions et d’obligations internationaux en s’efforçant d’atteindre une performance supérieure nette de frais de gestion à l’indice composite 70% MSCI Daily TR Net World en € et 30% €STR capitalisé. La gestion s’effectue de façon discrétionnaire et repose sur l’anticipation de l’évolution des différents marchés (actions, obligations…) L’exposition à ces marchés se fera principalement au travers d’OPC.
L’attention des souscripteurs potentiels est attirée sur le fait que cet Objectif de gestion, est fondé sur la réalisation d’hypothèses de marché arrêtées par la société de gestion et ne constitue en aucun cas une promesse de rendement ou de performance du Fonds.
* Les chiffres cités ont trait aux années écoulées et les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Les performances d’un fonds créé il y a moins d’un an ne peuvent être affichées.
Les données économiques ont continué de surprendre à la hausse aux États-Unis en février, l’indice du PIB de la Fed d’Atlanta suggérant que la croissance du PIB pourrait encore se situer autour de 3 %, bien au-dessus du niveau potentiel estimé (environ 1,8 %). En conséquence, le consensus a continué de réviser à la hausse ses prévisions de croissance du PIB pour cette année. Alors que les données concrètes telles que les ventes au détail, la production industrielle ou les mises en chantier de logements ont baissé en janvier, des indicateurs plus avancés tels que les enquêtes régionales ou nationales de février auprès des entreprises ont progressé. Les effets de base favorables dans l’alimentation et l’énergie ont permis à l’inflation américaine de ralentir à 3,1 % en janvier (vs 3,4 % yoy). En revanche, il y a une déception au niveau de l’inflation sous-jacente, bloquée à 3.9%, ce qui explique que le résultat final ait été beaucoup plus élevé que prévu par le consensus (2,9 %). Alors que les minutes de la réunion du FOMC de janvier ont montré que les responsables de la Fed se sentaient de plus en plus positifs sur le front de l’inflation, le président de la Fed a réduit les chances d’une baisse imminente des taux. Dans la zone euro, après une croissance nulle au quatrième trimestre, les indicateurs avancés suggèrent qu’une certaine amélioration pourrait se produire, l’indice PMI composite en février étant légèrement supérieur au consensus, en hausse de 1 point à 48,9, tiré par une reprise dans le secteur des services, ce qui suggère qu’il n’y a plus de contraction. Bien que les ventes au détail aient encore baissé en janvier, on s’attend à ce qu’un ralentissement de l’inflation associé à une croissance continue de l’emploi (+0,3 % en glissement trimestriel au quatrième trimestre) se traduise par une hausse du revenu disponible et donc une hausse de la consommation à venir. Toutefois, l’activité dans les secteurs manufacturiers reste à la peine, l’indice PMI manufacturier ayant légèrement baissé en février (46,1). En conséquence, la reprise allemande semble à la traîne, les enquêtes de conjoncture ne montrant que peu d’amélioration et la production industrielle faisant état d’une forte baisse en décembre tandis qu’une certaine reprise a été observée dans d’autres pays comme la France ou les pays périphériques. L’inflation dans la zone euro a ralenti à 2,8 %, contre 2,9 % en glissement annuel en décembre, et l’inflation sous-jacente a également diminué, passant de 3,4 % à 3,3 %. Bien que légèrement au-dessus des attentes, les chiffres sont probablement beaucoup plus faibles que ceux attendus par la BCE en décembre dernier. Les minutes de la réunion de janvier de la BCE sont néanmoins plus équilibrées que le ton globalement accommodant adopté par la présidente Lagarde lors de sa conférence de presse, gardant les options ouvertes sur le calendrier de la première baisse des taux, entre les réunions d’avril et de juin. En Chine, avec la période des fêtes de fin d’année, l’agenda économique a été léger, mais les données disponibles suggèrent une faible accélération de la dynamique de croissance, l’indice composite PMI Caixin étant resté à peu près inchangé en janvier à 52,5, avec même une légère baisse de l’indice des services. Dans le même temps, la surcapacité de production contribue à alimenter les pressions déflationnistes dans l’économie.
ADN Dynamic réalise en février une performance mensuelle de +3,1% et une performance depuis le début de l’année de +0,9%. Nos deux lignes sur le secteur du luxe, Kering et LVMH sont les principaux contributeurs sur le mois dans la continuité du mois de janvier. Notre exposition sur la Chine, passe dans le vert et contribue fortement à la hausse du mois de février pour donner suite aux annonces des autorités chinoises de soutenir les marchés financiers. Nous restons optimistes sur notre positionnement chinois pour les prochaines semaines.