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JE SUIS UN PROFESSIONNEL JE SUIS UN PARTICULIEREn août, les marchés ont été fortement volatils en raison d’une faible liquidité. Après une chute marquée du Stoxx600 au début du mois (-6%), l’indice a rebondi pour clôturer en hausse de 1,33%.
La panique initiale a été déclenchée par des inquiétudes macroéconomiques, notamment de mauvais chiffres de l’emploi aux États-Unis, ravivant les craintes de récession. Cette période a entraîné une forte baisse des indices, avec le S&P500 et le Stoxx600 en baisse de 4,7% et 6,2% respectivement.
Par la suite, les marchés ont rebondi grâce à des données économiques rassurantes et au discours de Powell laissant entrevoir des baisses de taux. Le Stoxx600 a récupéré 7,8%, avec des gains notables dans les secteurs du voyage, des loisirs, et des assurances.
Sur le plan macroéconomique, les États-Unis montrent des signes de ralentissement, avec une faible croissance de l’emploi en juillet et un taux de chômage en hausse. En Europe, les perspectives sont mitigées, tandis qu’en Chine, la croissance reste faible, surtout dans le secteur immobilier.
En août, ADN Dynamic a enregistré une performance mensuelle de -1,00%, portant la performance depuis le début de l’année (YTD) à -0,1%. Les principaux freins à la performance ont été Porsche Automobil Holding-PRF (-1,6%), LYXOR MSCI China ESG ETF EUR (-2,06%), et Société Générale (-8,97%). En revanche, les contributeurs positifs ce mois-ci ont été Alibaba.com ADR (+5,69%) et LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton (+3,26%).
Après une baisse du Stoxx 600 en juin, notamment en raison des élections législatives inattendues en France, l’incertitude persiste. La géopolitique reste cruciale avec la paralysie politique en France et les développements aux États-Unis, comme la tentative d’assassinat de Trump et le retrait de Biden de la course présidentielle. Les résultats des entreprises en Europe sont mitigés, impactant les perspectives de reprise économique.
Le Stoxx 600 a progressé de 1,3% en juillet, porté par les secteurs de la distribution, la construction, les banques et les services publics, tandis que la technologie, les ressources de base et l’automobile ont sous-performé. En France, le CAC 40 a légèrement augmenté de 0,7% mais reste en retard par rapport à d’autres indices européens.
Aux États-Unis, Trump est en tête dans les sondages mais son avance diminue face à Kamala Harris. Le retour potentiel de Trump pourrait entraîner une hausse de l’inflation. Les marchés financiers réagissent à ces incertitudes, avec une baisse du dollar et une hausse des prix de l’or.
Les données économiques américaines montrent une croissance solide au deuxième trimestre, mais avec des signes de ralentissement sur le marché du travail. L’inflation a légèrement baissé, ce qui pourrait conduire la Fed à envisager une baisse des taux en septembre. En Europe, la croissance du PIB est modeste et l’inflation reste stable, mais les perspectives économiques demeurent incertaines.
En Chine, la croissance économique a ralenti, et la déflation persiste. Le gouvernement chinois met l’accent sur l’équilibre entre développement économique et sécurité nationale. Au Japon, la Banque du Japon a relevé son taux directeur et a annoncé un plan de réduction de son bilan.
En juillet, ADN Dynamic a réalisé une performance mensuelle de -2.00%, portant le fonds à une performance YTD de +0.9%. Nous avons été favorisés par ALIBABA.COM ADR +9.51% et ORANGE +9.58%.
En juin, les résultats des élections parlementaires européennes ont révélé une progression notable des partis extrémistes, en particulier de l’extrême droite, qui devrait occuper plus du quart des sièges. En France, cette situation a conduit le président Macron à appeler à des élections législatives anticipées, et en Allemagne, la coalition au pouvoir a été affaiblie.
Ces changements politiques ont eu des répercussions économiques immédiates, augmentant l’incertitude et la volatilité sur les marchés. Le taux français à 10 ans est passé de 3.09% à 3.22% (+13 points de base en 24 heures). L’EURUSD a légèrement baissé de 1.08 à 1.0713 (-1.2%). La volatilité implicite de l’Eurostoxx a atteint 18.29%, et le Stoxx 600 a baissé de 0.27%, tandis que le CAC40 a chuté de 1.35%.
Le marché français a attiré particulièrement l’attention, avec un volume moyen échangé sur le CAC40 en hausse de 41% par rapport au mois précédent.
En juin, ADN Dynamic a réalisé une performance mensuelle de -3.4%, portant le fonds à une performance YTD de +2.9%. Nous avons été favorisés par le secteur du luxe (Kering +6.72%) et les fonds émergents, qui ont également contribué à la performance. Nous poursuivons notre stratégie d’investissement sur les actions versant des dividendes élevés.
Après une performance négative du Stoxx 600 en avril (-1.5%), le marché a repris sa marche en avant et termine le mois de mai en hausse de 2.63%. Depuis le point bas de fin octobre, cet indice a clôturé 6 des 7 derniers mois dans le vert, enregistrant sur la période un rebond de 19.5%. Malgré les nombreux ponts et un positionnement plutôt agressif à mi-avril, l’adage « sell in may and go away » n’aura donc pas fonctionné cette année. Les bonnes publications des entreprises et l’espoir d’une baisse rapide des taux en Europe l’emportent sur toutes autres considérations. Le marché est enthousiaste et toutes les classes d’actifs en ont profité. Aux États-Unis, les estimations de la Fed d’Atlanta indiquent toujours une forte croissance du PIB au T2 en hausse de 3,5 % (après 1,6% au T1). Cependant, les données d’activité du mois dernier ont surpris à la baisse, indiquant une dynamique plus faible. De la même manière, sur le marché du logement, la confiance des entreprises mesurée dans l’enquête NAHB s’est détériorée. Le taux de chômage est passé de 3,8 % à 3,9 %. Enfin, le salaire horaire moyen a été plus faible que prévu. Pendant ce temps, l’inflation s’est encore refroidie à 3,4 % y/y en avril contre 3,5 % en mars. En outre, l’IPC Core a ralenti à 3,6 % y/y : un chiffre conforme aux attentes, pour la première fois en 4 mois. En ce qui concerne la politique monétaire, la Fed a maintenu les taux inchangés comme prévu, la conférence de presse du président Powell ayant adopté un ton accommodant, indiquant que malgré les données observées depuis le début de l’année, il pense que des hausses de taux sont peu probables. Sur le plan politique, l’administration Biden a augmenté les droits de douane sur les importations en provenance de Chine de semi-conducteurs, de batteries, de composants solaires et de minéraux rares, en plus des augmentations précédemment signalées par Bloomberg sur l’acier, les produits en aluminium et les véhicules électriques. Dans la zone euro, après des données plus solides du PIB au T1, les signes d’une reprise de l’activité se sont poursuivis. L’industrie manufacturière rattrape son retard, ce qui renforce l’idée que l’impact négatif de la hausse des prix de l’énergie s’estompe. Au niveau national, le rattrapage allemand se poursuit. Étant donné que l’Allemagne a fortement pesé sur la croissance du PIB de la zone euro au cours des deux dernières années, cette amélioration renforce les arguments en faveur d’une reprise économique du vieux continent. Au niveau des prix, les premières indications au niveau national suggèrent que l’inflation de la zone euro pourrait avoir légèrement accéléré en mai, augmentant par rapport à son niveau de 2,4 % en avril. Toutefois, cela pourrait principalement refléter l’impact des bases comparables sur les prix de l’énergie. À cet égard, la Commission européenne a confirmé sa prévision de de croissance du PIB 2024 de 0,8 % pour la zone euro tout en révisant à la hausse ses prévisions pour 2025 à 1,5% vs 1,4 % il y a trois mois. En ce qui concerne l’inflation, les prévisions ont été réduites à 2,5% en 2024 et 2,1 % en 2025, vs 2,7 % et 2,2 % avant (respectivement). En Chine, la reprise reste modérée et inégale selon les secteurs. Alors que la croissance de la production industrielle s’est accélérée à 6,7 % y/y en avril, l’indice de production des services a ralenti à 3,5 % y/y. La plus grande surprise à la baisse dans les données d’avril provient de la consommation. La croissance des ventes au détail s’est modérée à 2,3 % y/y en avril, contre 3,1 % y/y le mois précédent et 5,5 % y/y au cours des deux premiers mois de l’année. Après le ton plus axé sur la croissance donné par la réunion du Politburo du 30 avril , le gouvernement central a annoncé une série de mesures visant à soutenir le marché immobilier en difficulté, par le biais d’incitations plus élevées pour les acheteurs de maisons et de plans du gouvernement pour acheter lui-même une partie des stocks.
ADN Dynamic réalise en mai une performance mensuelle de +2,7%, ce qui porte le fonds à une performance YTD à +6,6%. Nous avons été favorisés par les bancaires (Axiom European Banks Equity +6,2%, BNP Paribas +6,9%) et le secteur de la chimie (Solvay +20,2%) ont également contribué à la performance du fonds. Les valeurs de petites et moyennes capitalisations boursières ont également contribué à la performance (Erasmus Small Cap +3,8%, Erasmus Mid Cap +2,7%, Erasmus SMID Croissance +6,1%). Nous poursuivons notre stratégie d’investissement sur les actions qui versent des dividendes élevés. Nous avons récemment encaissé le dividende de BNP Paribas, Orange et Solvay.
Le mois d’avril a été marqué par des prises de profits sur la première quinzaine mais s’est redressé par la suite. Le marché a acté le nouveau scénario sur les taux. Le mois dernier, nous mettions en avant que certains stratégistes commençaient à se montrer moins confortables sur les niveaux atteints par les indices actions, du fait des multiples de valorisations élevés dans un contexte ou le positionnement des investisseurs était déjà massivement exposé à une hausse du marché. Avec les premières publications, les derniers chiffres d’inflation, l’actualité géopolitique et en amont de week-end prolongés, des prises de profits étaient prévisibles. Aux États-Unis, le PIB a ralenti au premier trimestre pour s’établir à 1,6 % t/t. Les stocks et les échanges ont ralenti le trimestre, mais la demande domestique est restée vigoureuse, en hausse de 3,1 %. Bien que les dépenses de consommation aient légèrement ralenti, les dépenses d’investissement sont restées fortes. Néanmoins, les principaux indicateurs avancés du climat des affaires ont toutefois été plus mitigés. Jusqu’à présent, la forte résilience de la croissance américaine avait également été observée sur le marché du travail. Sur une base de trois mois, la création d’emplois s’accélère. En parallèle, nous avons eu un autre chiffre d’inflation plus fort que prévu en mars. Les chiffres corrigés des variations saisonnières sur trois mois ont montré que l’inflation sous-jacente mesurée dans l’IPC a augmenté à 4,4 % y/y, soit un point de plus qu’en décembre dernier. Pour l’indice core PCE, l’indicateur privilégié par la Fed de la pression sous-jacente sur les prix, la réaccélération est encore plus frappante, passant de 2,0 % au T4 2023 à 3,7 % t/t au T1 2024. Dans la zone euro, il y a plus de signes de reprise de l’activité. La croissance du PIB a augmenté de 0,3 % t/t au premier trimestre, après deux trimestres de contraction et grâce à une expansion généralisée dans tous les pays, les quatre grands pays de la zone euro affichant des résultats positifs. Du côté des consommateurs en zone euro, leur confiance s’est encore améliorée en avril, bien qu’à un rythme lent. Des données concrètes ont également montré une forte reprise de la production industrielle allemande pour le deuxième mois consécutif en février, ce qui a permis d’espérer que le pic de l’impact négatif de la hausse des prix de l’énergie sur l’activité industrielle allemande pourrait être passé. Les enquêtes de la BCE sur les prêts bancaires suggèrent également que l’impact maximal du resserrement de la politique monétaire est désormais dans le rétroviseur. En outre, la présidente Christine Lagarde a clairement laissé entendre que la BCE commencerait à réduire ses taux en juin, repoussant même l’idée qu’elle n’était pas prête à le faire à moins que la Fed ne le fasse. Les données sur l’inflation d’avril donnent des arguments pour que la BCE ajuste effectivement ses taux à la baisse. Alors que l’inflation globale dans la zone euro est restée stable à 2,4 % y/y en avril grâce à la hausse des prix de l’énergie, l’inflation sous-jacente a continué de ralentir à 2,7 %. En Chine, le PIB du T1 a surpris positivement à 1,6% t/t, ce qui est principalement dû à la forte croissance de l’investissement, en particulier de l’investissement manufacturier. Toutefois, la dynamique semble s’essouffler, la production industrielle et les ventes au détail ayant ralenti plus que prévu en mars. Enfin, la dynamique des prix ne laisse pas présager de reprise significative de la demande, l’IPC de mars étant redevenu proche de zéro sur une base annuelle et l’IPP se contractant toujours à près de -3,0 %.
ADN Dynamic réalise en avril une performance mensuelle de +1,6%, ce qui porte le fonds à une performance YTD à +3,7%. Nous avons été favorisés par les valeurs chinoises (Lyxor MSCI China ETF EUR +5,7%, Alibaba +3,3%, Carmignac China NE +5,9%). Ce positionnement maintenu depuis des mois porte finalement ses fruits. Notre positionnement sur les bancaires (BNP Paribas +2,7%, Axiom European Banks Equity +6,2%) et le secteur de la chimie (Solvay +20,2%) ont également contribué à la performance du fonds.
Le mois de mars a été marqué par une très faible volatilité intraday. La sérénité est de mise et malgré les nombreuses statistiques publiées, les évolutions dans les conflits géopolitiques et les communications des entreprises, aucune séance n’a connu de mouvement de plus de 1%. Ce calme absolu se retrouve au niveau du V2X qui s’est approché de niveaux records à 12.62 avant de se redresser dans les tous derniers jours pour clôturer à 13.37. Le mouvement haussier, entamé en octobre, n’aura donc été interrompu que par quelques rares prises de bénéfices début janvier : le Stoxx 600 gagne 6.88% sur le trimestre et 17.1% depuis fin octobre. Dans les pays avancés, les principales banques centrales (Fed, BCE, BoE) ont maintenu leurs taux directeurs inchangés en mars, mais préparent le terrain pour d’éventuelles baisses de taux dans les mois à venir. La principale exception a été le Japon, où la BoJ a mis fin à sa politique de taux d’intérêt négatifs (NIRP) en place depuis 2016 en relevant ses taux de base de -0,1 % à 0 %. Aux Etats-Unis, la Fed a fortement revu à la hausse ses prévisions de croissance mais prévoit tout de même trois baisses de taux cette année. Cela signifie que la réaction de la Fed est devenue plus accommodante, du moins pour 2024. Certes, la prévision médiane faisait état d’une baisse de moins pour 2025 et d’une légère hausse du taux d’intérêt d’équilibre (de 2,5 % à 2,6 %), mais le président de la Fed n’a pas accordé beaucoup d’importance à cette dernière, soulignant l’incertitude qui entoure l’estimation. La création d’emplois à grande échelle dans tous les secteurs témoigne toujours d’une activité très résiliente. En ce qui concerne les pressions sur les prix, l’inflation a surpris à la hausse pour le deuxième mois consécutif en février, l’IPC global passant de 3,1 % à 3,2 % en glissement annuel, tandis que l’indice de base n’a que légèrement reculé, passant de 3,9 % à 3,8 %. Dans la zone euro, la BCE a de nouveau revu à la baisse ses prévisions d’inflation et de croissance du PIB. Le PIB est désormais attendu à 0,6 % cette année, contre 0,8 % auparavant. La reprise attendue pour 2025 et 2026 est restée pratiquement inchangée. Plus important encore, l’inflation est désormais attendue à 2,3 % en 2024, 2,0 % en 2025 et 1,9 % en 2026 (contre 2,7 %, 2,1 % et 1,9 %). Les données sur l’inflation pour le mois de février ont confirmé ce point, ralentissant encore à 2,5% contre 2,8% en glissement annuel. En Chine, les données des deux premiers mois de l’année ont été meilleures que prévu. La production industrielle a augmenté de 7,0 % en glissement annuel, tandis que l’indice de la production de services a augmenté de 5,8 % en yoy. Du côté de la demande, les investissements en actifs fixes et les ventes au détail en Chine ont également surpris à la hausse, atteignant respectivement 4,2% en glissement annuel et 5,5% en glissement annuel. Les données, plus solides que prévu, ont été stimulées par des bases comparables et l’anticipation des dépenses budgétaires.
ADN Dynamic réalise en mars une performance mensuelle de +1,2%, ce qui porte le fonds à une performance YTD à +2,1%. Nous avons été favorisés par les valeurs bancaires et assurantielles (BNP Paribas +18,9% ; Axiom European Banks Equity +13,2%). Notre positionnement sur les valeurs chinoises a également contribué à la performance positive du fonds (Carmignac China New Economy +6,8% ; Lyxor MSCI China +1%). Nous avons sécurisé une partie du portefeuille en nous positionnant sur l’ETF Double Short CAC 40 en début de mois et sur le marché obligataire à travers le fonds Axiom Obligataire.
Les données économiques ont continué de surprendre à la hausse aux États-Unis en février, l’indice du PIB de la Fed d’Atlanta suggérant que la croissance du PIB pourrait encore se situer autour de 3 %, bien au-dessus du niveau potentiel estimé (environ 1,8 %). En conséquence, le consensus a continué de réviser à la hausse ses prévisions de croissance du PIB pour cette année. Alors que les données concrètes telles que les ventes au détail, la production industrielle ou les mises en chantier de logements ont baissé en janvier, des indicateurs plus avancés tels que les enquêtes régionales ou nationales de février auprès des entreprises ont progressé. Les effets de base favorables dans l’alimentation et l’énergie ont permis à l’inflation américaine de ralentir à 3,1 % en janvier (vs 3,4 % yoy). En revanche, il y a une déception au niveau de l’inflation sous-jacente, bloquée à 3.9%, ce qui explique que le résultat final ait été beaucoup plus élevé que prévu par le consensus (2,9 %). Alors que les minutes de la réunion du FOMC de janvier ont montré que les responsables de la Fed se sentaient de plus en plus positifs sur le front de l’inflation, le président de la Fed a réduit les chances d’une baisse imminente des taux. Dans la zone euro, après une croissance nulle au quatrième trimestre, les indicateurs avancés suggèrent qu’une certaine amélioration pourrait se produire, l’indice PMI composite en février étant légèrement supérieur au consensus, en hausse de 1 point à 48,9, tiré par une reprise dans le secteur des services, ce qui suggère qu’il n’y a plus de contraction. Bien que les ventes au détail aient encore baissé en janvier, on s’attend à ce qu’un ralentissement de l’inflation associé à une croissance continue de l’emploi (+0,3 % en glissement trimestriel au quatrième trimestre) se traduise par une hausse du revenu disponible et donc une hausse de la consommation à venir. Toutefois, l’activité dans les secteurs manufacturiers reste à la peine, l’indice PMI manufacturier ayant légèrement baissé en février (46,1). En conséquence, la reprise allemande semble à la traîne, les enquêtes de conjoncture ne montrant que peu d’amélioration et la production industrielle faisant état d’une forte baisse en décembre tandis qu’une certaine reprise a été observée dans d’autres pays comme la France ou les pays périphériques. L’inflation dans la zone euro a ralenti à 2,8 %, contre 2,9 % en glissement annuel en décembre, et l’inflation sous-jacente a également diminué, passant de 3,4 % à 3,3 %. Bien que légèrement au-dessus des attentes, les chiffres sont probablement beaucoup plus faibles que ceux attendus par la BCE en décembre dernier. Les minutes de la réunion de janvier de la BCE sont néanmoins plus équilibrées que le ton globalement accommodant adopté par la présidente Lagarde lors de sa conférence de presse, gardant les options ouvertes sur le calendrier de la première baisse des taux, entre les réunions d’avril et de juin. En Chine, avec la période des fêtes de fin d’année, l’agenda économique a été léger, mais les données disponibles suggèrent une faible accélération de la dynamique de croissance, l’indice composite PMI Caixin étant resté à peu près inchangé en janvier à 52,5, avec même une légère baisse de l’indice des services. Dans le même temps, la surcapacité de production contribue à alimenter les pressions déflationnistes dans l’économie.
ADN Dynamic réalise en février une performance mensuelle de +3,1% et une performance depuis le début de l’année de +0,9%. Nos deux lignes sur le secteur du luxe, Kering et LVMH sont les principaux contributeurs sur le mois dans la continuité du mois de janvier. Notre exposition sur la Chine, passe dans le vert et contribue fortement à la hausse du mois de février pour donner suite aux annonces des autorités chinoises de soutenir les marchés financiers. Nous restons optimistes sur notre positionnement chinois pour les prochaines semaines.
L’économie américaine a continué d’afficher une vigueur plus forte que prévu. Porté par des dépenses de consommation robustes, le PIB a augmenté de 3,3% au T4 2023 après 4,9% au T3 : cela se compare à des attentes du consensus de 2,0%. Bien qu’en décélération, cela laisse présager une solide dynamique en ce début d’année 2024. Il semblerait que les entreprises soient en train de reconstituer leurs stocks en prévision d’une croissance vigoureuse et continue. En outre, la baisse continue du taux d’épargne des particuliers en pourcentage du revenu personnel disponible suggère que les consommateurs sont de plus en plus optimistes quant aux perspectives, car ils recourent de plus en plus sur le crédit pour financer leurs dépenses en biens et services. Sur le marché du travail, l’emploi non agricole a encore augmenté de 216 000 en décembre, tandis que les salaires mesurés par le salaire horaire moyen ont affiché un gain de 4,1 % y/y, en accélération par rapport aux mois précèdent. L’inflation s’est réaccélérée en décembre, passant de 3,1 % en glissement annuel à 3,4 %, tandis que les prix de base (hors alimentation et énergie) n’ont que légèrement reculé à 3,9 %. La zone euro a stagné au T4 2023, la croissance du PIB étant stable sur une base trimestrielle. Parmi les pays, l’Allemagne est toujours à la traîne avec une croissance du PIB en baisse de -0,3 % en glissement trimestriel, tandis que la France est restée stable et que les pays périphériques (l’Espagne et l’Italie), ont affiché une croissance positive et ont donc surperformé. L’indice avancé indique toujours une situation économique morose en ce début d’année. La confiance des consommateurs a baissé en janvier, tandis que l’indice PMI composite n’a que légèrement augmenté, passant de 47,6 à 47,9. À première vue, l’indice composite agrégé de la zone euro est compatible avec une contraction encore stable ou légère du PIB réel au début de l’année. L’essentiel de la faiblesse provient de l’indice PMI des services, qui est passé de 48,4 à 48,8. Cela suggère que l’impact négatif de la hausse des taux d’intérêt continue de peser sur l’activité. L’inflation a continué d’être inférieure aux prévisions. Alors qu’elle était passée de 2,4 % en glissement annuel à 2,9 % en décembre, l’inflation sous-jacente a encore ralenti, passant de 3,6 % à 3,4 %. Tout en maintenant les taux inchangés, la faiblesse de la croissance économique, conjuguée au ralentissement de la tendance sous-jacente de l’inflation, a déclenché un ton « accommodant » de la part du président de la BCE lors de la réunion de janvier, ce qui a alimenté les attentes du marché quant à une éventuelle première baisse des taux lors de la réunion d’avril. En Chine, la croissance annuelle du PIB s’établit à 5,2 %. À première vue, la croissance du PIB en 2023 a augmenté par rapport aux 3,0 % de 2022, mais cela est principalement dû à des bases comparables faibles en raison des restrictions Covid en cours l’année dernière. Sur une base séquentielle, la croissance d’un trimestre à l’autre au T4 s’est établie à 1,0 %, ce qui représente une baisse significative par rapport à la croissance révisée de 1,5 % enregistrée au T3, indiquant donc un ralentissement de la dynamique de reprise vers la fin de l’année. En décembre, la production industrielle n’a pas montré d’accélération significative, tandis que les ventes au détail ont même ralenti en glissement annuel. Face à une forte pression à la baisse, les décideurs politiques se sont mobilisés : 1/ Lancement de l’initiative des Trois grands projets dédiée à la promotion de la rénovation urbaine, du logement public et des dépenses d’infrastructure ; 2/ envisager la création d’un fonds de stabilisation du marché d’une ampleur de CNY 2000Md (USD 278Md) ; et 3/ La BoC annonce une surprenante baisse de 50bps du ratio de réserves obligatoires des banques.
ADN Dynamic réalise en janvier une performance mensuelle de -2,1%. LVMH est le principal contributeur positif sur le mois avec la publication de ses résultats qui démontrent que 2023 a été une nouvelle année record pour le groupe (résultat net de 15,2 milliards d’euros). Dans la continuité de 2023, nos expositions sur les Mid Cap indiennes et sur les banques européennes continuent de performer. Nous avons pris une partie de nos profits sur les actions indiennes en allégeant notre exposition. Quant à notre exposition sur la Chine, elle continue de pénaliser la performance du fonds. Les récentes annonces du gouvernement chinois confirment l’engagement des autorités de soutenir leurs marchés boursiers, nous conservons un avis favorable sur la zone géographique.
Les conflits en Ukraine et en Palestine, les tensions latentes entre les US et la Chine, les difficultés de l’immobilier et de l’économie en Chine n’ont pas gâché la fête : le Stoxx 600 finit le mois en hausse de 3.8% et l’année en hausse de 12.7%. La baisse de l’inflation, la bonne tenue de la croissance économique, la solidité des résultats des sociétés et les espoirs de baisse des taux expliquent l’optimisme qui a soufflé sur 2023. Un secteur en a particulièrement profité en 2023, c’est la technologie, à l’image de la hausse du Nasdaq : +43% en 2023. Si l’on se concentre sur le dernier mois écoulé, on constate que l’élément prépondérant a été la réunion du FOMC de décembre qui a montré que les responsables politiques étaient de plus en plus confiants dans le fait qu’ils étaient parvenus à une orientation politique suffisamment restrictive. Il est important de préciser que M. Powell a laissé entendre que la Fed serait disposée à ajuster les taux avant que l’inflation n’atteigne 2% et, autre élément important, qu’elle pourrait réduire ses taux avant même qu’une récession ne sévisse. Cela renforce donc clairement la probabilité d’avoir un atterrissage en douceur de l’économie et une prolongation du cycle ce que le marché a apprécié. Dans la zone euro, les données d’activité sont restées faibles. L’indice PMI composite est stable en décembre à 47,6, toujours en phase avec une contraction de l’activité (inférieur à 50) mais toujours en hausse par rapport à son point bas atteint en octobre (46,5). L’Allemagne est en retard, l’indice Ifo du climat des affaires ayant effacé la plupart des gains observés au cours des deux derniers mois en décembre et la production industrielle ayant baissé pour le cinquième mois consécutif en octobre, tandis que les commandes manufacturières ont connu une forte baisse (-3,3 % m/m). Dans le même temps, les prêts dans la zone euro sont restés faibles en novembre, ce qui confirme que les hausses de taux pèsent sur l’économie. Du côté positif, après des années de négociations, les ministres des Finances de l’UE sont parvenus à un accord de dernière minute sur la réforme des règles budgétaires de l’UE en décembre. Bien que le compromis soit plus strict que celui proposé par la Commission européenne en avril, il offre plus de flexibilité que le cadre existant. Au niveau des taux US, ils ont continué sur leur trajectoire baissière entamée fin septembre avec une baisse du taux 10 ans de 32 pb et du 2 ans de 29 pb. Le niveau des 4% a été cassé le 14 décembre. Malgré une communication moins favorable de la BCE qui entend maintenir les taux « plus élevés plus longtemps », repoussant l’espoir d’un pivot rapide, le taux 10 ans allemand a baissé de 34 pb, cassant les 2% le 20 décembre et retrouvant les niveaux de fin 2022. En Chine, les indicateurs suggèrent que la dynamique économique a continué de ralentir en décembre. Les dirigeants chinois ne semblent pas assez préoccupés par la croissance : la Conférence centrale sur le travail économique montre un manque évident de nouvelle politique créative. L’objectif principal est d’atteindre l’équilibre entre une croissance de haute qualité et une sécurité nationale de haut niveau. Ce qui semble décevant, c’est l’absence de mesures concrètes pour soutenir la consommation ou l’immobilier, deux grands points sensibles de l’économie chinoise.
ADN Dynamic termine l’année 2024 avec une performance annuelle de +15,8%. Notre exposition sur la Chine nous a empêché d’avoir une performance plus importante mais nous continuons de croire en un futur rebond, nous conservons donc cette exposition. Nous avons renforcé nos lignes directes telles LVMH et Kering après que le secteur du luxe ait corrigé afin d’améliorer nos niveaux d’achat. Nous allons continuer à maintenir un positionnement de plus en plus tourné vers les ETFs et les actions détenues en direct afin de diminuer les frais courants.
Après 3 mois de baisse sensible, le marché entrevoit enfin une éclaircie : l’espoir d’un soft landing grandit. Le mois de novembre a constitué la deuxième plus forte hausse mensuelle cette année à +6.45%. Aux US, le S&P a connu sa meilleure progression de l’année et sa 18ème meilleure performance mensuelle depuis 1950. Aux États-Unis, la Fed a maintenu le taux des fonds fédéraux à 5,50 % lors de sa réunion de novembre. En octobre, l’inflation américaine a surpris à la baisse, ralentissant à 3,2 % contre 3,7 %, les détails du rapport montrant davantage de signes d’une désinflation généralisée. Pendant ce temps, la croissance de l’emploi s’est affaiblie en octobre, passant à 150 000 emplois contre 297 000 et le taux de chômage est passé de 3,8 % à 3,9 %. En termes de données d’activité, l’indice ISM des services a indiqué une dynamique plus faible au début du quatrième trimestre, passant de 53,6 à 51,8 en octobre, tandis que les ventes au détail ont baissé de -0,1 % en glissement mensuel après une forte hausse de +0,9 % en glissement mensuel observée en septembre. Dans la zone euro, la tendance désinflationniste se poursuit, avec un ralentissement de l’inflation en novembre à 2,4 % en glissement annuel, inférieur aux attentes, et une inflation sous-jacente (hors alimentation et énergie) inférieure aux prévisions, passant de 4,2 % à 3,6 %. Cela devrait renforcer la confiance de la BCE dans le fait que le retour à l’objectif de 2,0 % à moyen terme sera atteint. Dans le même temps, l’indice PMI s’est redressé en novembre, l’indice composite passant de 46,5 à 47,1. Cependant, l’indice reste cohérent avec le risque d’un nouveau PIB négatif au quatrième trimestre. Les données concrètes sur le PIB du troisième trimestre ont en effet été faibles, l’Allemagne et la France faisant état d’une contraction du PIB, -0,1 % en glissement trimestriel. Pendant ce temps, pour l’Allemagne, la décision de la Cour constitutionnelle a mis en péril environ 60 milliards d’euros de fonds destinés à promouvoir la transition énergétique, la numérisation et l’atténuation de l’impact des prix élevés de l’énergie. En Chine, les données concrètes ont montré une certaine amélioration en octobre, avec des ventes au détail en hausse de 7,6 % contre 5,5 % en glissement annuel, bien que l’accélération puisse également s’expliquer par des effets de base favorables. La production industrielle s’est également légèrement améliorée, passant de 4,5 % en glissement annuel à 4,6 %. Cependant, l’investissement fixe reste déprimé, ralentissant à 2,9 % contre 3,1 % en glissement annuel et les indicateurs avancés tels que l’indice PMI ont fléchi en novembre, passant de 50,7 à 50,4.
ADN Dynamic fête ses 4 ans de gestion chez Erasmus Gestion et conseillé par CV Finance. Depuis le changement de gestion les performances s’améliorent régulièrement. Sa performance depuis le début de l’année est à +11,9%. Le fonds affiche une performance positive de +4,9% sur le mois de novembre. Nous allons maintenir un positionnement plus tourné vers les ETFs et actions détenues en direct dans le but de diminuer les frais courants du fonds.
Le marché continue sur sa tendance baissière avec une forte accélération en octobre. La baisse du Stoxx 600 s’accélère à -3.7% en octobre. L’incertitude sur un élargissement du conflit au Moyen-Orient, les publications du T3 très mitigées et la volatilité sur le marché obligataire ont dominé les débats. Les données macros en Europe et aux US divergent… et la volatilité sur l’obligataire se fait sentir. En Europe, la BCE a laissé ses taux inchangés après 10 hausses de taux consécutives alors que l’enquête sur la distribution du crédit bancaire et la faiblesse des PMIs (au plus bas depuis 3 ans) semblent avoir montré des signes de transmission de la politique monétaire à l’économie réelle. Les données les plus récentes semblent confirmer la possibilité d’une pause prolongée de la BCE, l’inflation en zone euro passant de 4.3% le mois dernier à 2.9% et le PIB ressortant sous les attentes à -0.1% t/t, ce qui pourrait alimenter les craintes d’une possible récession au S2. Aux US, les données économiques continuent de surprendre positivement à l’image de l’indicateur de bonnes surprises, qui continue de grimper proche des 63 (vs 45 le mois précédent. L’indice PMI manufacturier est revenu en territoire neutre, tandis que l’indice PMI non manufacturier (meilleur indicateur de la demande domestique) est de nouveau en expansion. La forte dynamique du T3 pourrait soutenir un rythme d’embauche sain au T4. Le PIB a quant à lui surpris à la hausse, ressortant à 4.9% t/t, soit 2x la hausse observée au T2 (2.1%). Cette forte demande intérieure pourrait ainsi aider les entreprises à répercuter la hausse du coût sur le consommateur, protégeant ainsi les marges, constituant aussi un risque à la hausse pour l’inflation core. Nouveau risque géopolitique au Moyen Orient : les craintes restent contenues pour l’instant. Si des signaux d’aversion au risque se sont manifestés mi-octobre lors du début du conflit, les craintes restent pour l’instant contenues du côté des investisseurs. Le Brent termine le mois en baisse de 7% à 81 USD. Le dollar est quant à lui proche du plus haut depuis le début de l’année mais est aussi largement soutenu par la résilience de son économie face aux autres régions du monde et la hausse des rendements obligataires. En Chine, des signes d’amélioration se font sentir. L’amélioration des données de ventes de détail est positive tout comme la hausse de la production industrielle et du PIB. Les derniers chiffres de l’inflation, de l’activité commerciale et des bénéfices industriels ont également renforcé la possibilité d’un creux.
ADN Dynamic affiche une performance négative de -5.5% sur le mois d’octobre, et une performance positive à +6,7% depuis le début de l’année. Nous avons maintenu notre positionnement mais écrêter certaines positions afin de renforcer la valeur LVMH dans sa baisse et l’ETF Nasdaq avec levier afin de profiter du rebond des marchés via les secteurs du luxe et de la technologie.
Après une baisse de 2.8% en août, le marché a de nouveau chuté en septembre de 1.74%. Les marchés actions ont été incapables de rebondir face aux tensions sur le marché obligataire. Les discours agressifs des banques centrales pour lutter contre l’inflation, la détérioration des indicateurs macroéconomique, l’imminence d’un shutdown ont paralysé les investisseurs financiers. Les États-Unis ont délivré un message de résilience et d’inflation persistante. Un message de statut quo monétaire annoncé par Monsieur Powell qui a été sans surprise avec les risques qui pesaient à court terme liés à l’éventuel shutdown et à la grève du secteur automobile. Bien que la Fed ait maintenu ses taux inchangés comme prévu, son message global et ses prévisions étaient plus « hawkishs » que prévu. En d’autres termes, la Fed n’a pas encore pivoté. Reflétant une activité plus forte, le FOMC a revu à la hausse ses prévisions médianes de croissance et de taux d’intérêt. Ces prévisions font toujours état d’une hausse supplémentaire pour cette année, mais de deux baisses de moins pour l’année prochaine. La BCE a procédé à une nouvelle hausse des taux mais elle a laissé entendre qu’il s’agirait probablement de la dernière. Cette décision a été prise dans un contexte de révision à la baisse des perspectives de croissance, avec un biais prudent. Il est vrai que les données économiques ressortent globalement en-dessous des attentes depuis 5 mois. La BCE a opté pour une hausse « dovish » et a procédé à une nouvelle augmentation des taux de 25 bps, portant le taux de dépôt à 4%, tout en signalant qu’il s’agissait probablement de la dernière. Cela intervient à un moment où la BCE a considérablement réduit ses prévisions de croissance. La seule surprise « dovish » est venue de la Banque d’Angleterre, qui a maintenu son taux d’escompte à 5,25%, bien qu’elle ait maintenu son plan de resserrement implicite. Quant au marché chinois, il reste sous pression, l’immobilier continue de faire les gros titres de la presse. Pékin a récemment dévoilé des mesures pour relancer le secteur crucial de l’immobilier en mettant notamment en place un soutien au crédit avec une nouvelle baisse du taux de réserve obligatoire de 25pb et en réduisant les formalités administratives. Les ventes au détail et la production industrielle du mois d’août se sont améliorées et ont été plus élevées que prévu, tandis que la croissance des investissements en actifs fixes reste faible, ce qui permet à l’indice de se stabiliser sur des niveaux bas.
ADN Dynamic affiche une performance négative de -3.3% sur le mois de septembre, et une performance nettement positive à +12,9% depuis le début de l’année. Nos titres détenus en direct et notre exposition au marché indien permettent de limiter la baisse du fonds sur le mois. Nous avons pris nos profits sur Eramet, Total et Vallourec. Nous nous sommes positionnés sur une valeur forte de marché, LVMH, à un prix satisfaisant.